Cette chapelle fut édifiée au milieu du 15e siècle par la famille de Quimerc’h.

Deux des statues en granit polychrome datant probablement du 17è siècle représentant Saint-Mathieu (ou Saint Turgen ?) et Saint-Marc évangéliste ont été admirablement restaurées en 2011. Celles-ci viennent d’être classées au titre des monuments historiques par arrêté du Ministère de la culture et de la communication en date du 23 avril 2015. La statuaire est également composée de Saint-Corentin (sans garantie), de Saint-Paul (statue sans tête difficile à identifier) et de la belle statue de bois de Notre Dame de Lorette provenant de la chapelle qui se trouvait au village voisin de Loretta, détruite peu après la Révolution.
La chapelle Saint Mathieu fut restaurée une première fois en 1860 puis laissée à l’abandon pendant un siècle. En 1962, les habitants du quartier reprirent les travaux et en une dizaine d’années, l’édifice fut restauré. En 1994, d’importants travaux furent entrepris. Il s’agissait de la démolition du pignon ouest qui supportait le clocher et de reconstruire l’ensemble à l’identique, les infiltrations et le gel avaient fini par causer l’éclatement du mur de pierre.

Le mur nord de cette chapelle, édifiée au sommet du flanc très pentu d’un coteau, fait office de contrefort. Le répertoire ornemental a donc été réservé pour le mur sud et pour le chevet. Après avoir connu une période d’abandon, elle est remise en état en 1860, avant de sombrer de nouveau dans l’oubli jusqu’au milieu du XXe siècle. A partir de 1952 commence un réfection qui dure près d’un quart de siècle.

Le bureau :

Présidente : Martine Oury

Martine Klein, vice-présidente

Denis Cartié, trésorier et son adjoint Nathan Harris

Claude Klein, secrétaire, épaulé par Claude Lefebvre

membres : Catherine Le Gall, Johanna Harris, Sarah Bonis, André Miclot, Bruno Moraine, Hervé Aymonin.

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